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Irkoutsk (en Russe : Иркутск) la capitale de l’Oblast de Irkoutsk, en Sibérie

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Première halte la gare

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Avant d’aller au bord de la « Mer glorieuse, Baïkal sacré » comme dit la poésie

ou « Perle de Sibérie » hera-video-icon

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Plus grand bassin d’eau douce de la planète

  • 20 % des réserves mondiales
  • 600 Km de long
  • 1 600 m de profondeur
  • 2 100 Km de côtes (3 800 km en France)
  • 32 000 Km2
  • 23 000 000000 m3 : si son bassin était vidé il faudrait un an à tous les fleuves du monde réunis pour le remplir à nouveau.

Personne ne l’a jamais vu en entier même en avion. Jules Verne disait de lui, que Baïkal ne pouvait être appelé Lac mais Mer Baïkal. Ce « lac » est le plus ancien du monde : 25 000 000 d’années sans qu’il n’ait jamais changé de faune et de flore. Nous sommes tous concernés par les travaux de recherche de Nathalia GRANINA, directrice de recherche de l’institut de biologie de Irkoutsk dirigé par Monsieur le Recteur Arguchinzev Alexandre que nous avons sollicité pour l’organisation d’une interview reportage. Après avoir été pollué par des rejets industriels dans les années 1980, il est devenu le premier pôle d’écologie soviétique. La pureté de ses eaux permet de voir jusqu’à 40 m de profondeur. Une alliance peut-être un jour entre La Méditerranée et le lac Baïkal, l’une berceau des plus anciennes civilisations, l’autre berceau de l’histoire de notre planète. Un reportage sur le lien entre la France, les femmes de France et la lointaine Irkoutsk, et peut-être un premier élément de preuve que l’ambition qui est la mienne n’est pas une utopie.

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Princesse Marie VOLKONSKAIA

Dans le poème « Les femmes russes », NEKRASSOV rend hommage aux femmes des Décembristes, tout comme POUCHKINE dans ce poème : « Rien n’est perdu, ni l’élan de vos larmes, blé semé par vos mains aux champs de l’avenir, ni les prospérités de vos tyrans infâmes que dieu ne garde saufs que pour les mieux punir ».

« Aujourd’hui encore, et en partie sous l’influence de ces femmes exceptionnelles, le rôle des Décembristes demeure tangible » . Extrait du roman « Les larmes du devoir » Madeleine TIOLLAIS